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Nos intestins, nos racines

La plupart des aliments ne peuvent pas être utilisés tels quels par notre organisme, ils doivent d’abord être dégradés en molécules plus petites pour traverser la membrane plasmique des cellules : ce processus porte le nom de digestion.

Des intestins en bonne santé contribuent à l’équilibre de notre organisme.

Les aliments que nous mangeons subissent les premières transformations digestives au niveau de la bouche et de l’estomac. A la sortie de l’estomac, l’intestin grêle et le colon forment un long tube, dans lequel les substances alimentaires achèvent leur transformation en vue de leur absorption ou élimination.

Ces dernières années les recherches scientifiques ont prouvé que l’intestin et le cerveau sont étroitement liés. Le système nerveux central (SNC) est, en effet, en interaction permanente avec le tube digestif.
Le SNC est informé en permanence de la nature de l’environnement du tube digestif et module en retour les fonctions gastro-intestinales. A ce mécanisme complexe s’ajoute l’action du système hormonal et du système immunitaire.

L’ensemble joue un rôle clé dans la régulation des fonctions gastro-intestinales vitales comme le maintien de l’homéostasie et de la digestion, mais aussi dans la somatisation de certains états psychiques tels que la réponse au stress, à la douleur et aux émotions.

Des études ont mis en évidence un lien entre une perturbation de la communication intestin-cerveau et certaines pathologies digestives (reflux gastro-œsophagien, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin-MICI) ou des troubles du comportement alimentaire (anorexie mentale).

La paroi intestinale est un filtre à double sens, qui vers l’extérieur ne doit laisser passer que les nutriments transformés et digérés, et vers l’intérieur draine les colloïdes résiduelles du système lymphatique. Mais à force d’être confrontée continuellement à des centaines voire des milliers de molécules chimiques de synthèse (additifs alimentaires, pesticides, irritants, médicaments et autres polluants divers) qui n’existent pas dans la nature et donc qui ne sont pas reconnues par le vivant, de multiples petites nécroses se perforent, laissant passer des molécules alimentaires indésirables ou non transformées. C’est ce que nous appelons l’hyperperméabilité intestinale.

Pour mieux comprendre en vidéo :  cliquez ici

L'hyperperméabilité intestinale

En cas d’hyperperméabilité intestinale (ou Leaky Gut Syndrom) quelle alimentation adopter ?

  • De « vrais » omégas 3 : petits poissons gras marins (sardines, maquereaux, etc.), œufs « bio », viandes provenant d’éleveurs respectant un cahier des charges respectueux de l’environnement comme par exemple le réseau « Bleu Blanc Cœur ».
  • Algues, mâche, roquette, noix, huiles de noix, colza et cameline, graines de lin.
  • Curcuma+++
  • Thé vert
  • Pomme, ail, oignon (quercétine)
  • Grenade, raisin (polyphénols)
  • Vin rouge « biologique » (resveratrol)
  • Avocat
Nos intestins, nos racines

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